Un Dimanche D’Hiver


Encore un repas de famille comme tant d’autres, qui finit par des discussions politiques pour les hommes avec un bon cigare et des discussions féminines autour d’une tasse de thé. Ce jour la Sébastien m’avait demandé de le rejoindre après le repas dans la petite chapelle située à 200 mètres de la maison. Je laissais mes hôtes prétextant une balade dans la forêt et me rendait donc à la chapelle. La neige avait recouvert le sentier et rendait ma progression difficile, et je n’étais pas mécontente de rentrer dans l’édifice abandonné afin d’être enfin au chaud. Il faisait sombre, et même si la température était plus agréable que l’extérieur, la bâtisse restait froide et poussiéreuse. Sébastien m’attendait assis sur une caisse.

- Dépêche toi tatie on n’a pas trop de temps, et il fait froid ; Vient réchauffer ma grosse queue avec ta bouche
- Tu es obliger de me la jouer aussi vulgaire ? Je suis pas une de tes copines de facs Seb !!!
- Tais toi et suce moi salope, t’es surement pas une copine de fac mais pendant 30 minutes tu vas être au niveau de mes copines de trottoir. Allez ouvre ta belle bouche…

Il enfourna son membre dans ma bouche, et me saisie par les cheveux. Je m’appliquais à le sucer, enchainant les mouvements de langue sur son gland ou faisant remonter ma le bout de ma langue tout le long de son membre. J’adore le gout de son sexe. J’adore être son jouet. En fait j’adore qu’un jeune de son âge puisse avoir autant de désir pour moi. Je suis son fantasme, je l’excite, de part mon attitude faussement offensée.

- J’adore quand tu t’habilles tout en noir, ca m’excite encore plus. Relève ta jupe maintenant que je vois ton gros cul pendant que tu me suces.

Je relevais ma jupe, et recommençais à le sucer. Je connaissais ses limites, et quand je devais ralentir afin qu’il ne jouisse pas trop vite. Je voulais moi aussi profiter de son sexe, quand il déciderait de s’enfoncer en moi.

Il releva mon pull noir afin de laisser échapper mes seins emprisonnés dans un SG Lise Charmel noir. Il plaça son sexe d’autorité entre mes grosses mamelles et se branla, me forçant de happer son gland à chaque mouvement. Il replaça son membre dans ma bouche quand un flash éclaira la chapelle.

Je me relevais rapidement me couvrant la poitrine de mes bras. Sébastien fit de même. Claudine, sa belle mère se dressa devant nous, son téléphone en main.

- Et bien bravo, j’ai enfin la preuve que je cherchais depuis si longtemps
- Claudine, que fais tu la, ce n’est pas ce que tu crois, mais qu’as-tu fais, tu nous as espionné et pris en photo
- Oui et quelle photo, ta grosse bite dans la bouche de cette trainée, cela vaut son pesant d’or…
- Claudine, je ne vous permets de me traiter de la sorte. La situation est ambigüe je vous l’accorde mais en aucun cas je ne peux tolérer…
- Tais toi salope, ou je lui demande de remettre sa bitte dans ta bouche
- Ecoute Claudine, tu sais j’aime ta fille, mais bon de temps en temps tu comprends…
- Je comprends que cette grosse pute te manipule, et c’est une honte. Elle se sert de toi, sans se préoccuper du mal qu’elle peut faire à ton couple. Mais on peut toujours s’arranger, qu’en penses tu Sébastien ?
- Humm, que proposes tu Claudine ?
- TU partages ton jouet avec moi, et je ne dis rien à ma fille
- Non mais vous êtes pas bien, vous pourriez peu être me demander mon avis !!!!
- Patricia, calme toi, de toute façon on n’a pas trop le choix, et puis ce n’est pas la première fois, allez s’il te plait sois sage…

J’étais prise au piège, une fois de plus, et allais devoir me soumettre aux caprices de ces 2 dégénérés. Claudine releva sa jupe, laissant apparaitre des bas soutenus par des portes jarretelles, dont je jugeais la qualité médiocre. J’avais toujours trouvé un brin de vulgarité chez cette femme. Elle s’assit sur une caisse écartant les jambes, ordonnant à Sébastien de me faire approcher.
Sébastien me poussa la tête entre ses cuisses.

- Gouine moi maintenant, montre moi ce que tu sais faire avec ta langue
- Allez tata obéis tu n’as pas le choix de toute façon. Je peux m’occuper de son cul pendant qu’elle te suce ?
- Vas y mon gendre profite de cette belle jument

Ma tête plongée entre ses cuisses, elle écartait sa culotte et ses grandes lèvres débordantes s’ouvraient devant moi. Elle m’attrapa par les cheveux et me plongeât vers elle. J’enfonçais ma langue entre ses cuisses et m’appliquais à la lécher. Je sentais très vite sa réaction, les mouvements de son bassin s’accélérant et venait au devant de moi. Elle me tenait sévèrement par les cheveux et s’appliquait à commenter la scène avec des propos les plus dégoutants. Pendant ce temps Sébastien s’était placé derrière moi et s’affairait à s’occuper de ma croupe. Il m’avait pénétrait, en abaissant ma culotte à mi cuisse et me pistonnait comme un taureau. Comme à chaque fois qu’il s’occupait de moi je perdis rapidement tout contrôle et sentait venir des orgasmes de toute part. Mon corps ne me répondait plus, je devais l’avouer, j’étais par ses coups de bittes, et je ne pouvais plus me passer de son sexe. C’était pour moi une véritable addiction.

Sébastien ordonna à Claudine de se retourner afin que je lui lèche son anus. Elle obéit, et je lui fourrais donc ma langue dans son anus, tout en lui masturbant l’entre jambe avec mes doigts. Elle avait son souffle fort, et je sentais sous mes caresses qu’elle jouissait intensément. Sébastien sorti son membre et le dirigea vers mon petit trou. Il me sodomisa, entrant doucement en moi.

- Viens ici Claudine, je veux que tu suces mon sexe pendant que je l’encule

Elle obéit à nouveau, elle était maintenant sous son emprise. Sébastien avait pris l’ascendant, et se retrouvait avec deux jouets de chair dont il allait r tout à son aise.

Je sentais la langue de Claudine rentrait en moi.
Elle d’était positionnée en dessous de Sébastien, et jouait avec sa langue entre mes cuisses ou suçant le sexe de Sébastien quand il sortait de mon anus. Tenant son sexe entre ses mains elle le dirigeait soit vers mon sexe béant soit vers mon anus, s’appliquant à le rentrer bien au fond, tout en ma claquant le cul. Je sentais Sébastien au bout, il allait venir et jouir. Il nous força à nous agenouiller toutes les deux, nous demandant de nous embrasser en jouant de nos langues. Pendant que nos langues s’entremêlaient, il se masturbait au dessus de nous tapotant son gland sur nos langues. Il nous demanda enfin de sortir nos gros seins afin de jouir dessus. De grands jets se répandirent sur nos poitrines et nous lui nettoyais son sexe avec nos bouches avec gourmandise. Claudine se jeta à nouveau sur moi en m’embrassa fougueusement rentrant sa langue en moi et me caressant les seins avec rudesse. Ses doigts rentrèrent en moi pour une ultime jouissance.

- Regarde-moi avec tes grands yeux de biches apeurés pendant que je te doigte, je veux te voir jouir. Depuis le temps que j’en rêve. Ca fait des années que tu me snobes avec tout ton fric et ton gros cul, mais maintenant t’es à moi.

Sébastien la laissa se déchainer sur moi pendant plusieurs minutes, jusqu'à ce que des flashes retentissent à nouveau.

- Arrêter mes 2 salopes, on doit rentrer maintenant. Claudine j’ai bien sur effacé tes photos de ton téléphone mais je garde celles la en souvenir.

Sans un mot et honteuses, nous nous réajustèrent et le suivirent vers la maison comme deux esclaves soumises à leur maitre.

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